Mondialement réputé dans le cénacle de la musique ancienne, le chef italien Giulio Prandi s’attèle ici à l’un des derniers péchés de vieillesse du maître bel cantiste pour clore cette édition du festival. L’occasion de redécouvrir ce joyau incontournable du répertoire sacré au plus proche de sa version d’origine : lumineux dans son esprit chambriste et profondément spirituel dans la recherche aboutie d’une voie pure et authentique. « Sacrée musique » !